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Sujet 25: Cantique des Cantiques
[25-3] Que signifient les croyants en l’évangile de l’eau et de l’Esprit pour Dieu? (Cantique des Cantiques 2:1-17)
“Je suis un narcisse de Saron, Un lis des vallées. -
Comme un lis au milieu des épines, Telle est mon amie parmi les jeunes filles. -
Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, Tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J’ai désiré m’asseoir à son ombre, Et son fruit est doux à mon palais.
Il m’a fait entrer dans la maison du vin; Et la bannière qu’il déploie sur moi, c’est l’amour.
Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, Fortifiez-moi avec des pommes; Car je suis malade d’amour.
Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m’embrasse! -
Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Par les gazelles et les biches des champs, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, Avant qu’elle le veuille. -
C’est la voix de mon bien-aimé! Le voici, il vient, Sautant sur les montagnes, Bondissant sur les collines.
Mon bien-aimé est semblable à la gazelle Ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, Il regarde par la fenêtre, Il regarde par le treillis.
Mon bien-aimé parle et me dit: Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!
Car voici, l’hiver est passé; La pluie a cessé, elle s’en est allée.
Les fleurs paraissent sur la terre, Le temps de chanter est arrivé, Et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes.Le figuier embaume ses fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!
Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, Qui te caches dans les parois escarpées, Fais-moi voir ta figure, Fais-moi entendre ta voix; Car ta voix est douce, et ta figure est agréable.
Prenez-nous les renards, Les petits renards qui ravagent les vignes; Car nos vignes sont en fleur.
Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui; Il fait paître son troupeau parmi les lis.
Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient, Reviens!... sois semblable, mon bien-aimé, A la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes qui nous séparent.”
Unis dans l’amour, le Seigneur est notre mari et nous sommes ses épouses
Le Cantique des Cantiques est un chant d’amour chuchotant sur l’amour que le Seigneur a pour nous. Cette Écriture décrit la relation entre le Seigneur et ses ouvriers. La femme sulamite était en unité avec son Seigneur. Cette unité entre la femme sulamite et le Seigneur nous explique très bien le genre de relation que nous, les croyants en l’évangile de l’eau et de l’Esprit, avons avec le Seigneur. Dans une telle relation, on ne peut s’empêcher de chanter une chanson d’amour, et le Cantique des Cantiques est une belle expression poétique de cet amour.
Il est écrit: “Je suis un narcisse de Saron, Un lis des vallées” (Cantique des Cantiques 2:1). Qu’est-ce que la femme sulamite signifie pour le Seigneur? Elle était son amour. Elle était le narcisse de Saron. Et nous alors? Que voulons-nous dire pour le Seigneur? Nous sommes précieux pour Lui, revêtus de Son amour. La femme sulamite symbolise ici nul autre que nous, les justes ouvriers de Dieu. Elle fait référence à tous les croyants en l’évangile de l’eau et de l’Esprit qui accomplissent maintenant l’œuvre du Seigneur. Que signifient pour lui les travailleurs de Dieu? Aux yeux de Dieu, nous sommes comme le narcisse de Saron et le lis des vallées.
En accomplissant l’œuvre du Seigneur, la femme sulamite était venue partager son amour profond avec le Seigneur. Ce passage des Écritures est une expression poétique de la relation que nous avons avec le Seigneur. Nous croyons tous ici à l’évangile de l’eau et de l’Esprit. Quel genre d’œuvre faisons-nous alors maintenant devant le Seigneur? Nous faisons l’œuvre de Dieu. Nous ne devrions jamais oublier à quel point nous sommes précieux aux yeux de Dieu. Même si ce monde dans lequel nous vivons est sombre et déprimant, nous pouvons toujours vivre une vie joyeuse, car le Seigneur est avec nous.
Comme nous le savons, l’économie européenne est au bord de l’effondrement. De nombreux économistes craignent que l’ensemble de l’économie mondiale ne s’effondre, mais Dieu ne le permettra pas. Quelle que soit la difficulté de la situation économique et environnementale actuelle, lorsque la survie est en jeu, les gens auront recours à tous les moyens pour faire face à la crise. Ainsi, le monde boitera dans la mesure du possible, jusqu’à ce que le problème soit résolu une fois pour toutes avec le retour du Seigneur. Même lorsque ce monde entier est ébranlé par une crise, nous n’avons rien à craindre tant que nous servons la Justice du Seigneur.
Notre Seigneur nous remplira alors d’encore plus de bénédictions. En menant notre vie, nous oublions parfois qui nous sommes et combien de bénédictions nous avons reçues de Dieu. Trop occupés par notre vie dans ce monde, nous ignorons souvent qui nous sommes en tant que croyants en l’évangile de l’eau et de l’Esprit, même si nous sommes précieux aux yeux de Dieu lorsque nous croyons en sa justice et la servons. Nous tous, les justes, sommes en effet comme le narcisse de Saron et le lis des vallées. Mais le problème, c’est que nous ne le savons que trop peu souvent. En conséquence, nos saints et les travailleurs de Dieu peuvent tomber dans la dépression malgré le fait que c’est une bénédiction merveilleuse pour eux d’avoir trouvé la Justice du Seigneur.
Nous nous demandons parfois: “Dois-je continuer à servir et à prêcher seulement la justice du Seigneur? Il est juste que tout le monde dans l’Église croie en la Justice de Dieu et la serve, mais qu’en est-il de moi? Ne suis-je rien de plus qu’un outil à utiliser pour répandre la Justice de Dieu?” Cependant, bien que de telles pensées nous viennent brièvement à l’esprit, lorsque nous y réfléchissons profondément à nouveau, nous en venons à remercier Dieu de nous avoir utilisé pour Sa Justice. Parce que nous sommes tous encore des êtres humains dans la chair, il est possible pour nous de tomber dans la stagnation spirituelle, même brièvement. Mais que voulons-nous dire pour notre Seigneur?
Aux yeux de Dieu, nous sommes “le narcisse de Saron” et “le lis des vallées”. En d’autres termes, nous sommes aimés par le Dieu Juste au-delà de toute description. Le revers de la médaille est que nous aimions et servions aussi la Justice de Dieu. Nous avons le genre de foi qui nous permet de partager une relation d’amour avec Dieu. Nous sommes des gens si spéciaux qui avons reçu un amour si spécial de notre Dieu. Ainsi, chaque fois que nous nous sentons déprimés, nous devons réaffirmer notre fierté en tant que peuple bien-aimé de Dieu et rester fermes sur notre foi. À moins que nous, les justes, n’ayons cette fierté spirituelle de la foi, nous ne pouvons pas suivre le Seigneur sans cesse. C’est par la foi que nous pouvons confesser notre amour au Seigneur comme l’a fait la femme sulamite. Par conséquent, en ce qui concerne notre foi, il est extrêmement important pour nous de savoir qui nous sommes vraiment aux yeux de notre Seigneur.
Nous sommes aimés de notre Seigneur. Nous sommes les destinataires de l’amour spécial du Seigneur. C’est quand nous réalisons ce fait que nous pouvons vraiment suivre le Seigneur. Et c’est alors que nous pouvons comprendre notre valeur et la raison de notre existence. Si nous étions ignorants de notre propre valeur, alors notre vie de foi serait sèche et ennuyeuse, sans parler de notre foi en Jésus lui-même. Nous vivons notre foi en regardant vers l’amour et la justice du Seigneur, mais si nous avons de la difficulté à comprendre que le Seigneur nous aime, alors nous ne pouvons pas soutenir notre relation avec le Seigneur.
Il doit y avoir un lien d’amour dans notre relation avec le Seigneur. Ce n’est que lorsque nous connaissons son amour que nous pouvons continuer à maintenir notre relation d’amour avec lui. Vous n’êtes pas tous d’accord? Il doit y avoir une corde d’amour entrelacée qui nous relie à Dieu. Ce n’est qu’alors que l’amour entre le Seigneur et nous pourra être soutenu. Cette relation d’amour entre le Seigneur et nous est bien exprimée dans la lecture des Écritures d’aujourd’hui; tournons-nous tous vers le Cantique des Cantiques 2:2-3 et lisons ensemble: “Comme un lis au milieu des épines, Telle est mon amie parmi les jeunes filles. Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, Tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J’ai désiré m’asseoir à son ombre, Et son fruit est doux à mon palais.” La femme sulamite était comme un lis pour le Seigneur, et pour la femme sulamite, le Seigneur était comme un pommier parmi les arbres des bois.
Imaginez à quel point nous serions agréablement surpris si nous tombions sur un pommier mûr en faisant de la randonnée dans les collines? Ce serait un régal rafraîchissant pour nos corps fatigués. Vous ne pouvez probablement pas tous l’apprécier, mais les randonneurs savent à quel point il est agréable de rencontrer des arbres fruitiers sur le sentier. Quand j’étais enfant, j’avais l’habitude de faire de la randonnée dans les collines et de jouer à la plage tout le temps. J’avais même l’habitude de plonger dans l’océan depuis une haute falaise. Maintenant que j’y pense, j’étais plutôt téméraire dans ma jeunesse, car j’aurais pu être tué!
Quand la femme sulamite regarda le Seigneur, il était comme un pommier pour elle. À ses yeux, le Seigneur était comme un pommier parmi tous les arbres des bois. Ce pommier au fond des montagnes était l’arbre qui nous a vraiment assouvis et bénis. Pour la femme sulamite, Jésus était comme un pommier. Comme ça, le Seigneur est précieux pour nous en tant que pommier, et nous sommes précieux pour le Seigneur comme un lis. Ce passage nous explique à quel point nous sommes intimement proches du Seigneur. C’est pourquoi la femme sulamite était si ravie de s’asseoir à l’ombre du pommier.
Le Seigneur chante son amour pour la femme sulamite
Il est écrit ici dans le Cantique des Cantiques 2:4: “Il m’a fait entrer dans la maison du vin; Et la bannière qu’il déploie sur moi, c’est l’amour.” La relation entre la femme sulamite et le roi Salomon symbolise la relation entre nous, les croyants en l’évangile de l’eau et de l’Esprit et le Seigneur. La femme sulamite a dit ici que Dieu l’a amenée à la maison du vin. Cela implique que le Seigneur donne à ses ouvriers un sentiment d’appartenance. Où est donc cette maison du vin où le Seigneur amène la femme sulamite? C’est dans le Royaume de Dieu. Ce banquet dans le Royaume de Dieu peut aussi avoir lieu dans Son Église.
Nous sommes en fait vêtus de l’amour infini du Seigneur dans notre vie quotidienne, et toutes nos bénédictions sont là grâce à cet amour du Seigneur. Pour nous, le Seigneur est le Roi de l’amour. C’est pourquoi il a construit le Royaume d’amour dans le cœur de tous ceux d’entre nous qui croient en l’évangile de l’eau et de l’Esprit, et il veut aussi demeurer et vivre avec nous là-bas. Les justes peuvent donc vivre tous les aspects de la vie sous la bannière de l’amour de Dieu. C’est à cause de l’amour du Seigneur que nous sommes remplis par lui. Nous pouvons réaliser encore plus que nul autre que nous ne sommes les bien-aimés de Dieu. L’amour que le Seigneur a pour nous est en effet vaste et profond.
Chaque fois que je me sens découragé, je me tourne vers le Cantique des Cantiques pour me rappeler l’amour de Dieu pour moi. Je peux alors trouver la force spirituelle. Tout comme la femme sulamite était l’ouvrière de Dieu dans son Église, je suis aussi l’ouvrière de Dieu, et vous êtes aussi l’ouvrière de Dieu. C’est ainsi que nous pouvons tous réaliser que le Seigneur nous aime. Le roi ici dans la lecture des Écritures d’aujourd’hui est le Seigneur, nous sommes ses ouvriers, et donc nous sommes aimés par le roi. Avec notre Seigneur, nous accomplissons maintenant son œuvre dans une relation d’amour. Dans notre vie quotidienne, nous pouvons sentir qu’aux yeux de notre Seigneur, nous sommes ses bien-aimés.
Nous pouvons acquérir une nouvelle force pour notre cœur grâce à ce Cantique des Cantiques. C’est par l’œuvre de notre Seigneur que nous soutenons notre relation d’amour avec lui. C’est par l’œuvre de Dieu que les travailleurs de son Église sont aimés par Dieu, et c’est aussi par l’œuvre de Dieu qu’ils aiment Dieu en retour. Dieu est devenu notre propre Dieu, et nous avons une relation d’amour avec Lui parce qu’Il est notre Roi. C’est parce que Dieu est notre Roi que nous pouvons partager la communion avec Lui. Ainsi, Dieu notre Roi nous aime tout comme le Roi Salomon aimait la femme sulamite, et Dieu nous fait nous sentir dignes comme Ses ouvriers tout comme Salomon a animé la vie de la femme sulamite.
C’est pourquoi la relation entre le roi Salomon et la femme sulamite est tout comme la relation que nous, les croyants en l’évangile de l’eau et de l’Esprit, avons avec Dieu. Le Seigneur est le berger de l’Église de Dieu, et la relation entre le Seigneur et ses ouvriers est née de l’amour. Le Cantique des Cantiques est aussi connu sous ce nom de Cantique des Cantiques parce qu’il chante le plus grand amour de tous.
L’amour n’est pas grossier
Le Seigneur n’est jamais impoli envers nous. Il est écrit dans le Cantique des Cantiques 2:7: “Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Par les gazelles et les biches des champs, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, Avant qu’elle le veuille.” En traitant avec nous et en nous montrant son amour, le Seigneur ne nous a jamais traités grossièrement. Il nous a simplement dit qu’il nous aime et qu’en acceptant son amour, nous sommes devenus un seul corps avec le Seigneur. En conséquence, nous vivons maintenant en unité avec le Seigneur, car nous aimons le Seigneur.
En Corée, on dit que les hommes de la province du Gyungsang sont plutôt laconiques et émoussés avec leurs paroles. On dit en plaisantant que lorsqu’un homme de cette région se propose à la femme qu’il aime, il lui dit: “Porte mes enfants!” Ce n’est pas vraiment une façon romantique de se proposer; en fait, c’est une façon plutôt crue d’exprimer son amour, bien que dans l’esprit de l’homme, ce soit pratique. En revanche, notre Seigneur n’est jamais impoli envers nous. Comme le Seigneur et nous sommes dans l’amour, nous ne sommes jamais impolis l’un envers l’autre. Le véritable amour n’est pas unilatéral. Si vous aimez quelqu’un chèrement mais que cette personne ne vous aime pas en retour, alors votre amour est un amour non partagé. L’amour non réciproque n’est pas seulement unilatéral, mais aussi tragique, car la personne que vous aimez ne vous aime pas en retour.
Le véritable amour doit être basé sur la conscience mutuelle. C’est alors que l’amour commence à grandir. Qu’en est-il de votre relation avec le Seigneur alors? L’aimez-vous en sachant qu’il vous aime aussi? Grâce à l’évangile de l’eau et de l’Esprit, nous pouvons tous réaliser et apprécier encore plus que le Seigneur nous aime tous comme notre propre berger. Les ouvriers de Dieu savent que le Seigneur les aime. Bien que nous connaissions tous l’amour du Seigneur au moins dans une certaine mesure, ceux d’entre nous qui ne sont pas assez sensibles spirituellement peuvent avoir l’impression que le Seigneur ne les aime que peu. Ces personnes peuvent difficilement apprécier l’amour du Seigneur. Donc, même si vous aimez le Seigneur, cela peut être un problème si c’est juste unilatéral.
C’est pourquoi le Seigneur a dit: “Ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, Avant qu’elle le veuille.” Une relation vraiment aimante ne peut se développer que si les deux parties connaissent et apprécient l’amour de l’autre. L’amour grandit lorsque les deux parties comprennent le cœur de l’autre. Ce n’est que lorsque les deux parties en viennent à connaître le cœur de l’autre que le véritable amour grandit et se renforce. Après tout, si nous étions inconscients de l’amour juste du Seigneur, comment pourrions-nous en venir à l’aimer? C’est pour cette raison qu’il n’y avait pas d’impolitesse dans la relation d’amour entre notre Seigneur et la femme sulamite.
Le Cantique de l’amour et de la dévotion du Seigneur
Ceux qui aiment le Seigneur se trouvent dans l’Église de Dieu et dans le lieu de travail du Seigneur. C’est parce que nous aimons le Seigneur que nous voulons travailler ensemble sur le lieu de travail du Seigneur. Il est naturel que les travailleurs de Dieu fassent ce que le Seigneur veut qu’ils fassent. Si je devais donner un titre au Cantique des Cantiques chapitre 2, je l’appellerais “Le Cantique de l’amour et de la dévotion”.
Passons ici aux versets 8-17: “C’est la voix de mon bien-aimé! Le voici, il vient, Sautant sur les montagnes, Bondissant sur les collines. Mon bien-aimé est semblable à la gazelle Ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, Il regarde par la fenêtre, Il regarde par le treillis. Mon bien-aimé parle et me dit: Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens! Car voici, l’hiver est passé; La pluie a cessé, elle s’en est allée. Les fleurs paraissent sur la terre, Le temps de chanter est arrivé, Et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes. Le figuier embaume ses fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens! Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, Qui te caches dans les parois escarpées, Fais-moi voir ta figure, Fais-moi entendre ta voix; Car ta voix est douce, et ta figure est agréable. Prenez-nous les renards, Les petits renards qui ravagent les vignes; Car nos vignes sont en fleur. Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui; Il fait paître son troupeau parmi les lis. Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient, Reviens!... sois semblable, mon bien-aimé, A la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes qui nous séparent.”
Ici, il est même écrit que le Seigneur vient à la femme sulamite et est avec elle quand elle travaille dans la vigne. Cela signifie que le Seigneur protège son ministère. Comme le Seigneur est riche, Il donne à la femme Sulamite un travail et lui permet de travailler dans la vigne. Le Seigneur, qui aimait beaucoup la femme sulamite, vint à elle et lui dit: “Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens! Car voici, l’hiver est passé; La pluie a cessé, elle s’en est allée, il est temps pour toi d’aller à la vigne et de travailler.” C’était le travail de la femme sulamite de s’occuper de la vigne. Il y a une chanson coréenne qui dit: «Jolie dame dans la vigne, laissez-moi vous tenir la main et allons nous promener.”
Comme la femme dans cette chanson, la femme sulamite travaillait au vignoble. Alors le Seigneur lui dit: “L’hiver est maintenant passé, la glace a disparu, et les colombes commenceront bientôt à chanter. Il est temps que les vignes poussent et fleurissent. Lève-toi et viens avec Moi à la vigne. Allons-y ensemble. Je vais t’aider dans tout ce que tu fais. Assure-toi de saupoudrer la vigne de beaucoup d’engrais. Et lorsque de nouveaux germes sortent, coupe soigneusement les branches.” Je ne connais pas vraiment grand-chose à la viticulture, mais je sais que le parage est très important pour que les arbres fruitiers portent de bons fruits. Bien que de telles mesures soient nécessaires pour faire pousser les vignes, le Seigneur nous a aussi dit d’attraper les petits renards qui gâchent les vignes.
C’est important pour s’assurer que le vignoble n’est pas ruiné par les renards. Les renards sont des carnivores, et plusieurs sortes de renards se trouvent dans la Palestine d’aujourd’hui. Le plus grand d’entre eux est le renard jaune. Les renards sont mauvais pour les vignes car ils ont tendance à creuser des trous et, ce faisant, à nuire aux racines des vignes. Ils sont également assez rusés. Le renard se réfère ici à ceux qui se cachent dans l’Église de Dieu et qui, tout en prétendant croire en l’évangile de l’eau et de l’Esprit, entravent et blasphèment en fait l’évangile de l’eau et de l’Esprit.
Il y a beaucoup de ces gens qui se cachent même dans l’Église de Dieu tout en parlant. Ils ne sont là que dans un seul but, c’est d’essayer de saper l’autorité spirituelle des dirigeants de l’Église de Dieu. Ces gens ressemblant à des renards ont utilisé divers moyens pour saper l’Église. Tout d’abord, ils ont essayé de planter dans l’esprit des saints une image effrayante des dirigeants spirituels. Ils ont également attiré l’attention sur les faiblesses des dirigeants de l’Église dans une tentative de les déloger de leurs postes de direction. Pire encore, ils ont essayé d’empêcher l’évangile de l’eau et de l’Esprit d’être répandu dans le monde entier.
Récemment, nous avons eu connaissance qu’une certaine personne, qui avait été chargée de distribuer nos livres de l’Évangile par Amazon.com, avait en fait entravé notre ministère de l’Évangile. Ses façons rusées et peu scrupuleuses de saper le ministère de l’Évangile ont été exposées en plein jour. Pourtant, cette personne vit toujours dans l’Église de Dieu. C’est notre souhait sincère qu’il reconnaisse son péché et se repente devant Dieu.
Le Seigneur nous a dit d’attraper les petits renards qui gâchent les vignes. Il a également dit: “Car nos vignes sont en fleur. Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui.” C’est parce que les membres de l’Église sont devenus un seul corps avec le Seigneur. Et parce que les travailleurs du Seigneur ont uni leur cœur à celui du Seigneur, ils construisent le Royaume de Dieu. Par conséquent, lorsque les travailleurs de Dieu partagent la communion avec Lui, ils partagent des paroles secrètes d’amour. Il est écrit ici dans le passage des Écritures d’aujourd’hui: “Il fait paître son troupeau parmi les lis. Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient, Reviens!... sois semblable, mon bien-aimé, A la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes qui nous séparent.” Comme il est dit ici, aux yeux du Seigneur, ses ouvriers sont aimables au-delà des mots. Le Seigneur chérit chacun de ses travailleurs. C’est le genre de relation que le Seigneur a avec ses serviteurs.
Maintenant que le temps se réchauffe, il est temps pour nous d’accomplir encore plus l’œuvre de Dieu. Nous avons tous le devoir de faire ce que Dieu nous a commandé de faire dans son Église. Si nous nous soumettons à la volonté de Dieu, Il bénira sûrement encore plus de gens pour recevoir la rémission des péchés à travers nous.
Tous ceux qui ont reçu la rémission des péchés doivent reconnaître l’Église de Dieu. La femme sulamite dans la lecture des Écritures d’aujourd’hui fait référence aux travailleurs de Dieu. Cette femme symbolise non seulement les saints qui ont reçu la rémission des péchés, mais elle se réfère aux travailleurs de Dieu qui, ayant reçu la rémission des péchés, accomplissent maintenant l’œuvre de Dieu en unité avec le Seigneur. C’est pourquoi le Seigneur a dit à propos des travailleurs de Dieu: “Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui.” Quiconque a uni son cœur au Seigneur est quelqu’un qui non seulement partage l’amour avec le Seigneur, mais qui répand aussi cet amour. Dieu dit qu’Il a élevé ces gens pour qu’ils soient des travailleurs dans Son Église.
Après nous avoir fait accomplir l’œuvre de Dieu, le Seigneur a fait des disciples de ceux qui suivent nos traces. Alors que le Cantique des Cantiques chante sur la femme sulamite, il parle en fait de nous les croyants en l’évangile de l’eau et de l’Esprit qui accomplissent l’œuvre de Dieu. Vous et moi sommes la femme sulamite d’aujourd’hui. Le problème, cependant, est que trop d’entre nous se contentent de savoir que le Seigneur les aime et les a sauvés, alors qu’en réalité ils devraient accomplir l’œuvre du Seigneur. En revanche, les travailleurs de Dieu qui travaillent dans le Royaume du Seigneur savent non seulement que le Seigneur les aime, mais ils accomplissent aussi l’œuvre de Dieu.
Dieu a commandé à tous les travailleurs de son Église de répandre son évangile de l’eau et de l’Esprit, et nous faisons donc en effet tout notre possible pour accomplir l’œuvre que Dieu nous a confiée. Jésus-Christ lui-même a fait de nous, les croyants en l’Évangile de l’eau et de l’Esprit, les propres travailleurs de Dieu. Le Seigneur chérit chacun d’entre nous qui travaille dans l’Église de Dieu, il se soucie profondément de nous et il nous dit de répandre son amour. Il murmure ses paroles secrètes d’amour à ces personnes. C’est pourquoi la femme sulamite était si belle aux yeux du Seigneur.
Par conséquent, il est absolument important pour nous tous de croire que nous sommes les travailleurs bien-aimés du Seigneur. En croyant en l’évangile de l’eau et de l’Esprit, vous avez tous reçu du Seigneur la rémission authentique des péchés dans votre cœur. De plus, ceux d’entre vous qui se sont unis au Seigneur en réaffirmant son amour mènent maintenant une vie belle et chérie. Le Cantique des Cantiques chapitre 2 nous enseigne que nous sommes des êtres si chers aux yeux du Seigneur. Le Seigneur est joyeux d’accomplir son œuvre à travers nous. De plus, non seulement le Seigneur travaille à travers nous, mais il est aussi avec nous à chaque étape du chemin, nous aidant et nous protégeant tous personnellement. Nous devons le réaliser clairement.
Nous devons saisir, d’après la lecture des Écritures d’aujourd’hui, à quel point le Seigneur nous aime. Son amour pour nous est infini et beau à un point indescriptible. Tout comme la femme sulamite a revêtu l’amour du Seigneur, vous et moi avons aussi revêtu son amour. Si nous sommes vraiment les serviteurs de Dieu aux yeux du Seigneur, alors nous devrions tous aspirer à ce que l’Évangile de Dieu se répande dans le monde entier. Le Seigneur a dit qu’il était venu sur cette terre précisément pour réaliser cette œuvre, pour prêcher l’évangile de l’eau et de l’Esprit. Juste avant d’être baptisé par Jean-Baptiste, il a dit: “Laisse faire maintenant, car il convient que nous accomplissions ainsi toute justice” (Matthieu 3:15). En d’autres termes, le Seigneur voulait se faire baptiser afin de porter tous les péchés de toute la race humaine et de sauver chaque être humain en prenant tous ses péchés et en mourant ensuite sur la Croix.
Le Seigneur a dit qu’il édifierait son royaume sur cette terre. Son désir est de construire un royaume d’amour sur cette terre, d’en devenir le Roi et de bénir à jamais tout son peuple vivant dans ce royaume, de devenir, en bref, notre Berger éternel. Nous soumettant à ce désir du Seigneur notre Roi, nous devrions tous souhaiter être utilisés comme ses instruments pour accomplir la volonté de Dieu. Que se passe-t-il lorsque nous unissons notre cœur au Seigneur dans notre vie? Nous pouvons avoir le genre de relation d’amour que la femme sulamite avait avec le Seigneur. La volonté du Seigneur s’accomplit aussi sur cette terre.
Même sur cette terre, nous sommes tous les épouses du Seigneur. Jusqu’à ce que je rencontre le Seigneur, je ne m’étais jamais considéré comme son épouse. Ce n’est qu’après avoir trouvé Jésus que j’ai pu comprendre ce que cela signifiait d’être son épouse. Une fois que j’ai réalisé et cru que le Seigneur avait effacé tous mes péchés avec l’évangile de l’eau et de l’Esprit, je suis devenu sien, et je n’avais absolument aucune honte d’être une épouse de Christ. Il n’y avait rien de gênant dans le fait que je sois maintenant l’épouse du Seigneur.
Loin de là, j’étais déterminé à accomplir l’œuvre de Dieu comme mon mari le désirait, en me disant: “Je ferai tout ce que le Seigneur veut que je fasse. Je détesterai tout ce que le Seigneur abhorre. Je ferai tout ce qui plaît au Seigneur.” Pourquoi me suis-je résolu comme ça? C’est parce que j’aimais le Seigneur, le Seigneur m’aimait aussi, et donc ce n’était qu’une évidence pour moi d’accomplir l’œuvre du Seigneur. C’est le genre de foi que nous tous, les travailleurs de Dieu, avons. C’est à ces gens que Dieu montre Son amour.
En tant que justes, nous vivons en effet une vie si bénie. Si les travailleurs qui travaillent dans l’Église de Dieu unissent leur cœur au Seigneur, Son amour deviendra sûrement leur. Si vous et moi accomplissons l’œuvre du Seigneur et soutenons le ministère de l’Évangile pour le plus grand plaisir du Seigneur, alors nous serons sans aucun doute aimés par lui. C’est quand nous faisons cela que le Seigneur montre son intérêt pour l’Église de Dieu où vous et moi nous trouvons. Nous pouvons alors voir de nos propres yeux à quel point Dieu bénit tout ce que nous faisons. Quoi que nous nous soyons mis en tête; le Seigneur lui-même l’accomplit pour nous. Tout ce que nous contemplons pour la diffusion de l’Évangile, le Seigneur lui-même l’atteint pour nous. Tout ce que nous considérons pour l’œuvre juste de Dieu, le Seigneur lui-même le fait pour nous. Ce n’est pas à cause de notre propre force ou sagesse que nous accomplissons l’œuvre de Dieu, mais c’est parce que Dieu nous a bénis. Qu’est-ce que cela pourrait refléter d’autre que l’amour du Seigneur?
Quiconque accomplit l’œuvre de Dieu est son ouvrier. Le Seigneur a dit que les vignes fleurissent et que les raisins mûrissent dans la vigne. “Lève-toi et viens avec Moi.” Le Seigneur travaille à travers sa vigne. Cette vigne est le lieu de travail du Seigneur, et nous avons le devoir d’y aller et de travailler. Tout comme la femme sulamite, nous sommes aussi devenus des travailleurs dans le Royaume de Dieu. L’Église est le lieu de travail de Dieu. Et c’est par Ses fidèles ouvriers que Dieu accomplit Son œuvre. Dieu n’accomplit pas Sa volonté d’une autre manière qu’en travaillant par l’intermédiaire de Ses serviteurs qui ont uni leur cœur à Lui, qui sont dans une relation aimante à double sens avec le Seigneur et qui partagent des paroles secrètes d’amour avec Lui.
C’est ce que la lecture des Écritures d’aujourd’hui nous enseigne: que Dieu travaille par l’intermédiaire de ses serviteurs, bénit tout le monde par l’intermédiaire de ses serviteurs, et édifie son Royaume d’amour par l’intermédiaire de ses serviteurs. Par conséquent, alors que nous en venons à vivre dans ce monde, il est absolument indispensable que nous réalisions tous ce que nous voulons dire pour le Seigneur et à quel point il nous aime. Nous devons aussi nous demander dans quelle mesure nous croyons vraiment au Seigneur, dans quelle mesure nous l’aimons, dans quelle mesure nous lui faisons confiance et à quel point nous lui sommes obéissants.
J’ai toute confiance que si nous comprenons vraiment que la relation que nous avons avec le Seigneur est une relation d’amour et que nous menons notre vie en conséquence par la foi, alors nous renouvellerons tous notre force. Si nous poursuivons notre vie dans ce monde, et tant que nous connaissons l’amour du Seigneur et y croyons, notre foi ne peut être ni déçue ni en stagnation. Alors, je vous demande à tous d’avoir foi en l’amour de Dieu, de nourrir votre relation avec le Seigneur pour la rendre encore plus édifiante et belle, et d’être chéris par le Seigneur tout comme la femme sulamite dans la lecture des Écritures d’aujourd’hui.
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