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关于基督教信仰的常见问题解答

话题1:重生于水和圣灵

1-22. J’ai lu les livres que vous avez eu la gentillesse de me faire parvenir et je trouve intéressants certains de vos concepts concernant le baptême de Jésus. Pouvez-vous me dire ce que vous enseignez sur la relation entre notre baptême et le baptême, la mort et la résurrection de Jésus-Christ ?

Tout d’abord, nous devons prêter attention aux « baptêmes » tels qu’ils sont écrits dans Hébreux 6 : 2. Selon la Bible, il existe trois baptêmes différents : le baptême de Jean-Baptiste pour la repentance, le baptême que Jésus a reçu de Jean-Baptiste et notre baptême d’eau comme rituel.
Le baptême que nous recevons est une confession de notre foi dans le baptême de Jésus. C’est-à-dire que nous sommes baptisés afin de confesser notre foi selon laquelle nous croyons que Jésus a été baptisé pour enlever tous nos péchés et qu’il est également mort sur la Croix pour les expier. Maintenant, vous pouvez comprendre Matthieu 3 : 15 où il est dit : « Laisse faire maintenant, car il est convenable que nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste. » Ici, « ainsi » signifie que Jésus Lui-même a porté tous les péchés du monde en étant baptisé par Jean-Baptiste, le représentant de toute l’humanité.
C’était le plan profond de Dieu de nous sauver du piège inévitable du péché. Le Seigneur Dieu « A fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous » (Ésaïe 53 : 6) et nous a accordé sa justice. « Justice » signifie ici « Δικαιοσύνη (Dikaiosynē) » en grec, qui signifie également « équité et justice ». Cela nous dit que Jésus a porté l’iniquité de toute l’humanité de la manière la plus équitable et la plus juste en étant baptisé sous la forme de l’imposition des mains.

Nous avons été sauvés par notre foi forte dans le baptême, la mort sur la croix et la résurrection de Jésus.

La puissance de la circoncision spirituelle (Romains 2 : 29) de son baptême, qui a retranché tous nos péchés de nos cœurs, a lavé les péchés de nos cœurs. C’est pourquoi l’apôtre Pierre dit au peuple : « Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit » (Actes 2 : 38).
Tous les pécheurs devraient obtenir l’effacement des péchés dans leur cœur en croyant au nom de Jésus. Quelle est la signification de son nom ? « Tu lui donneras le nom de JÉSUS, car il sauvera son peuple de ses péchés » (Matthieu 1 : 21). Le nom de Jésus signifie « le Sauveur » qui sauve son peuple de tous ses péchés. Comment nous a-t-il sauvés de tous nos péchés ? Jésus nous a sauvés de tous nos péchés par son baptême et sa mort sur la croix.
Lorsque les apôtres de Jésus-Christ prêchaient l’Évangile, ils s’assuraient d’une compréhension claire du baptême de Jésus et de la Croix, ils enseignaient donc le véritable Évangile, puis baptisaient ceux qui y croyaient. En conséquence, nous sommes baptisés pour confesser extérieurement que nous croyons au baptême et à la mort de Jésus au plus profond de notre esprit. Lorsque nous sommes baptisés, nous confessons : « Merci, Seigneur. Tu as porté tous mes péchés par ton baptême, tu es mort pour moi et tu es ressuscité pour me sauver. Je crois en ton Évangile. » Nous sommes baptisés dans l’eau par des ministres comme symbole de notre foi dans le baptême de Jésus et sa mort sur la Croix, tout comme Il a été baptisé par Jean-Baptiste. Ainsi, les saints de l’Église primitive étaient baptisés comme preuve de leurs croyances, après avoir confessé leur foi en l’Évangile et avoir obtenu le salut, c’est-à-dire l’effacement des péchés.
Le rituel du baptême n’est pas une condition nécessaire pour être sauvé. Même s’il est très important de clarifier notre foi, nos baptêmes d’eau n’ont rien à voir avec notre salut. Nous ne pouvons être sauvés qu’en croyant en l’évangile de l’eau et du sang. La Bible déclare que nous sommes baptisés en Jésus-Christ (Romains 6 : 3, Galates 3 : 27) lorsque nous croyons en son baptême.
Alors, comment pourrions-nous être « baptisés en son nom » ? Cela n’est possible que si nous croyons en Son baptême puisque la chair, notre vieil homme, ne pouvait être uni à Jésus et crucifié avec Lui que par notre foi en Son baptême. Par conséquent, puisque Jésus a porté tous nos péchés par Son baptême, Sa mort était le jugement pour nos iniquités. Par conséquent, nous sommes également morts sur la Croix avec Lui. En d’autres termes, notre chair, qui ne peut que commettre des péchés jusqu’à la mort, est morte au péché et nous avons été sauvés de toutes nos iniquités en union avec Jésus par Son baptême.
Ceux qui sont unis à Jésus par Son baptême et Sa mort seront également unis à Sa résurrection. Sa résurrection n’est pas seulement notre résurrection de nos morts au péché, mais elle nous permet aussi de naître à nouveau en tant qu’enfants de Dieu et consacrés, qui sont purs et sans péché devant Lui.
Si nous n’avions pas transféré nos péchés sur Lui en nous méfiant de Son baptême, Sa mort et Sa résurrection auraient pu être dénuées de sens, n’ayant rien à voir avec notre salut. Ceux qui ont transféré tous leurs péchés sur Lui par la foi sont unis à Sa mort sur la Croix, ce qui leur permet de naître de nouveau comme justes. Cependant, ceux qui n’ont pas transféré leurs péchés sur Lui en ne croyant pas en Son baptême, n’ont aucun lien avec Sa mort et Sa résurrection.
Le baptême des croyants est digne de confiance, tout comme nous pouvons admettre un mari et une femme comme un couple légal par le biais d’une cérémonie de mariage. Le baptême des saints est une proclamation extérieure d’une telle croyance intérieure. Lorsque nous proclamons notre croyance en Son baptême et en la Croix devant Dieu, les saints et le monde, notre croyance devient plus immuable.
Ayant mal compris le vrai sens du baptême que Jésus a reçu de Jean-Baptiste, nous ne devrions pas croire que nous pourrions être sauvés sans croire en Son baptême et à sa signification. C’est simplement une ruse du diable. Nous pouvons recevoir l’effacement des péchés et être accueillis au Ciel en croyant vraiment au baptême de Jésus dans nos cœurs au lieu de croire en nos propres baptêmes.