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Sujet 22: L’Évangile de Luc

[PARTIE 15-2] Le Seigneur qui veut démontrer amour et miséricorde (Luc 15:1-32)

Le Seigneur qui veut démontrer amour et miséricorde(Luc 15:1-32)
“Tous les publicains et les gens de mauvaise vie s’approchaient de Jésus pour l’entendre. Et les pharisiens et les scribes murmuraient, disant: Cet homme accueille des gens de mauvaise vie, et mange avec eux. Mais il leur dit cette parabole: Quel homme d’entre vous, s’il a cent brebis, et qu’il en perde une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller après celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve? Lorsqu’il l’a retrouvée, il la met avec joie sur ses épaules, et, de retour à la maison, il appelle ses amis et ses voisins, et leur dit: Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis qui était perdue. De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de repentance. Ou quelle femme, si elle a dix drachmes, et qu’elle en perde une, n’allume une lampe, ne balaie la maison, et ne cherche avec soin, jusqu’à ce qu’elle la retrouve? Lorsqu’elle l’a retrouvée, elle appelle ses amies et ses voisines, et dit: Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé la drachme que j’avais perdue. De même, je vous le dis, il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent. Il dit encore: Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père: Mon père, donne-moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien. Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche. Lorsqu’il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla se mettre au service d’un des habitants du pays, qui l’envoya dans ses champs garder les pourceaux. Il aurait bien voulu se rassasier des carouges que mangeaient les pourceaux, mais personne ne lui en donnait. Étant rentré en lui-même, il se dit: Combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai: Mon père, j’ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d’être appelé ton fils; traite-moi comme l’un de tes mercenaires. Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa. Le fils lui dit: Mon père, j’ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Mais le père dit à ses serviteurs: Apportez vite la plus belle robe, et l’en revêtez; mettez-lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds. Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons et réjouissons-nous; car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir. Or, le fils aîné était dans les champs. Lorsqu’il revint et approcha de la maison, il entendit la musique et les danses. Il appela un des serviteurs, et lui demanda ce que c’était. Ce serviteur lui dit: Ton frère est de retour, et, parce qu’il l’a retrouvé en bonne santé, ton père a tué le veau gras. Il se mit en colère, et ne voulut pas entrer. Son père sortit, et le pria d’entrer. Mais il répondit à son père: Voici, il y a tant d’années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis. Et quand ton fils est arrivé, celui qui a mangé ton bien avec des prostituées, c’est pour lui que tu as tué le veau gras! Mon enfant, lui dit le père, tu es toujours avec moi, et tout ce que j’ai est à toi; mais il fallait bien s’égayer et se réjouir, parce que ton frère que voici était mort et qu’il est revenu à la vie, parce qu’il était perdu et qu’il est retrouvé.’’”


Mes chers croyants, comment allez-vous?
Notre Dieu a cherché les pécheurs qui étaient pauvres, corps et esprit. Dans le passage des Ecritures d’aujourd’hui, Il dit: “Lorsque tu donnes à dîner ou à souper, n’invite pas tes amis, ni tes frères, ni tes parents, ni des voisins riches, de peur qu’ils ne t’invitent à leur tour et qu’on ne te rende la pareille. Mais, lorsque tu donnes un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles. Et tu seras heureux de ce qu’ils ne peuvent pas te rendre la pareille; car elle te sera rendue à la résurrection des justes.” (Luc 14:12-14). Quelle est la raison pour laquelle le Seigneur a dit cela? C’est parce que si vous invitez les riches et leur donnez à manger, ils vous le rendront et vous n’aurez aucune récompense à recevoir de Dieu. A travers le passage des Ecritures d’aujourd’hui, nous pouvons savoir que notre Seigneur aime et sauve les insuffisants et les faibles, plus que les forts et ceux qui vont bien.


Jésus qui est venu vers ceux qui ont été révélés pécheurs


Dans le passage des Ecritures d’aujourd’hui en Luc 15, Jésus a invité des publicains et des pécheurs et a partagé la nourriture et la Parole avec eux. Jésus était dans la maison d’un Pharisien, mais les gens qu’Il a invités étaient des pécheurs comme les publicains. Mes chers croyants, qu’est-ce que cela signifie? Jésus a invité et servi des gens qui étaient reconnus en évidence comme des pécheurs, comme les publicains. Jésus Christ, le Fils de Dieu qui est venu sur la terre dans la chair d’un homme, a partagé de la nourriture avec des publicains et des pécheurs, et Il leur a donné la Parole de Dieu. Mais les Pharisiens et les scribes de l’époque en voulaient à Jésus et le persécutaient parce qu’Il faisait cela. Jésus connaissait le cœur dur des Pharisiens et des scribes et leur a parlé de la Parole de Vérité à travers ces paraboles. 
La première des paraboles de Jésus concernait une brebis perdue parmi cent brebis. 
Le Seigneur a dit: “Quel homme d’entre vous, s’il a cent brebis, et qu’il en perde une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller après celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve? Lorsqu’il l’a retrouvée, il la met avec joie sur ses épaules, et, de retour à la maison, il appelle ses amis et ses voisins, et leur dit: Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis qui était perdue. De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de repentance.” (Luc 15:4-7). Cette parabole de la brebis perdue concerne la Providence du salut de Dieu. Notre Seigneur a parlé en parabole, disant: “une personne qui avait cent brebis en a perdu une. Donc, il a laissé les quatre-vingt-dix-neuf dans le désert et est allé chercher cette seule brebis perdue.”
Quel genre de personne désigne la brebis perdue ici? La brebis perdue désigne les gens qui sont vraiment pécheurs; les gens qui cherchent Dieu pour recevoir la rémission des péchés dans leur cœur; les gens qui savent qu’ils sont pécheurs; les gens qui savent qu’ils iront en enfer, et les gens qui savent vraiment qu’ils sont perdus devant Dieu. Le berger qui cherche la seule brebis perdue signifie que Dieu cherche les gens perdus. Mes chers croyants, il y a vraiment beaucoup de gens qui vivent dans ce monde – environ 6,5 milliards. Mais ceux qui sont perdus pour Dieu ne sont pas plus que un sur cent ou dix mille.
Tous les gens ne sont pas des brebis qui ont perdu leur maison. La plupart des gens vivent bien sans aucun problème même s’ils ne connaissent pas Dieu. Mais quelle autre sorte de gens y a-t-il? Il y a des âmes qui luttent pour résoudre le problème de leurs péchés dans leur cœur. Il y a des âmes qui cherchent sincèrement Dieu parce qu’elles ont perdu leur maison et ne savent pas où aller. Elles ne savent pas que croire ou comment croire en Dieu. Dieu dit qu’Il cherche ces âmes et veut les revêtir de la grâce de Son salut.
Notre Dieu a utilisé l’expression disant qu’Il laisse les gens qui n’ont pas de problèmes et ceux qui ne se soucient pas de leur âme et de leur problème de péché. Qu’a dit le Seigneur qui est venu sur la terre pour nous sauver vous et moi? Il a dit: “Je ne suis pas venu appeler les justes, mais les pécheurs à la repentance” (Luc 5:32). C’est vrai. Le Seigneur ne vient pas vers ceux qui prétendent qu’ils sont justes. Notre Seigneur est venu sur la terre pour les gens qui se sentent vraiment coupables à cause des péchés qu’ils ont commis, à cause de leur cœur méchant, et à cause des péchés de leur passé et ceux qu’ils commettent maintenant. En d’autres termes, Il est venu pour ceux qui ont une conscience coupable devant Dieu à cause des péchés de leurs cœurs.
Mais comment sont réellement les gens? Parmi cent personnes, quatre-vingt-dix-neuf n’ont pas une conscience coupable. Ils vivent avec absolument aucune culpabilité dans leur conscience. Les gens qui n’ont pas de douleur dans leur conscience reçue de Dieu et n’ont pas de problèmes, ceux qui n’ont pas de culpabilité dans la conscience et vivent en croyant seulement en leur propre cœur, ne peuvent pas devenir des brebis perdues de Dieu. Bien sûr que Dieu veut revêtir tous les gens de la grâce du salut et de la rémission des péchés. Mais puisque Dieu voulait trouver les pécheurs et en faire des justes, Il nous dit à travers cette Parole aujourd’hui qu’il y a une personne sur cent qui sera vraiment sauvée.
Je suis certain que la première parabole du Seigneur ici concerne tout le monde. Tous les gens du monde doivent savoir que ceux qui seront sauvés sont un sur cent. Si vous lisez l’Ancien Testament, il est dit: “Je vous prendrai, un dans une ville et deux dans une famille, et je vous ramènerai à Sion” (Jérémie 3:14). Beaucoup de gens vivent vraiment dans ce monde, mais il n’y en a réellement pas beaucoup qui rencontrent le Seigneur. Par contre, il y a plus de gens qu’on peut compter qui vont en enfer.
Si un berger a élevé des brebis et les a laissées dans le désert pour trouver une seule brebis perdue, qu’arrivera-t-il au troupeau qui est laissé? Il sera soit dévoré par des loups ou mort de faim. Simplement, cela signifie que les nombreux gens qui ne peuvent pas recevoir le salut du Seigneur vont sur la large route de la destruction. C’est réellement comme cela. Beaucoup de gens suivent le chemin de la destruction de Dieu à cause de leurs péchés et du prix de ces péchés après avoir vécu sur la terre.
Il y a réellement beaucoup de gens qui sont perdus aux yeux de Dieu, et il y a beaucoup de gens qui seront détruits. Beaucoup de gens sont nés sur cette terre, mais il est réellement rare de trouver une personne qui a reçu la rémission des péchés dans son cœur. 
 


Tous ceux qui sont perdus


Le Seigneur parle, dans la deuxième parabole, de la pièce perdue. Le Seigneur dit: “Ou quelle femme, si elle a dix drachmes, et qu’elle en perde une, n’allume une lampe, ne balaie la maison, et ne cherche avec soin, jusqu’à ce qu’elle la retrouve? Lorsqu’elle l’a retrouvée, elle appelle ses amies et ses voisines, et dit: Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé la drachme que j’avais perdue. De même, je vous le dis, il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent.” (Luc 15:8-10). Avoir la joie de trouver une brebis perdue parmi cent, une pièce perdue sur dix, signifie trouver des gens, pécheurs, qui sont perdus devant Dieu.
Quand Dieu trouve un pécheur, le fait se repentir, lui fait recevoir la rémission des péchés, et en fait un juste, et quand Il revêt ce pécheur de la grâce de la rémission des péchés, Il se réjouit avec Ses serviteurs. Les serviteurs de Dieu ont aussi appelé les gens du voisinage, se sont réjouis, et ont fait une fête après avoir trouvé l’âme perdue. Toutes les trois paraboles du passage des Ecritures d’aujourd’hui parlent de Dieu qui sauve les pécheurs. Dieu, à travers Ses serviteurs, cherche parmi toutes les nombreuses personnes du monde ceux qui sont vraiment pécheurs et sont perdus; ceux qui réalisent qu’ils sont réellement des gens qui ne peuvent qu’aller en enfer, et qu’ils ne peuvent pas être sauvés en point d’arriver au point du suicide; ceux qui n’ont pas la volonté de vivre parce qu’ils seront détruits, et ceux qui n’ont absolument aucun espoir si ce n’est en Dieu.
Vraiment, nous qui sommes le peuple de Dieu devons trouver ceux qui sont perdus parmi les nombreuses personnes qui vivent sur cette terre. Nous devons vraiment trouver et revêtir du salut devant Dieu ceux qui n’ont pas d’espoir si ce n’est en Dieu, dont le cœur est brisé et blessé; ceux qui souffrent de difficultés à cause des péchés qu’ils ont commis; ceux qui agonisent à la pensée qu’ils ne peuvent qu’aller en enfer; ceux qui n’ont pas de justice, et ceux qui espèrent le salut de Dieu. Cela ne fonctionne de simplement répandre l’évangile à n’importe qui. Nous devons absolument diffuser correctement l’évangile à ceux qui sont vraiment des pécheurs devant Dieu et ceux qui ont besoin de Jésus. Le Seigneur n’est vraiment pas venu pour les gens qui pensent: “Je n’ai pas besoin de Jésus. Je peux bien vivre même sans Jésus. Je ne suis pas mal à l’aise du tout ni sous pression à cause du péché, même sans Jésus. Je vais bien.”
Ceux que le Seigneur cherche sont les autres gens. Dieu cherche les gens sur la terre qui ne sont pas satisfaits même s’ils boivent de l’alcool, chantent, et dansent. Il cherche les gens qui veulent maintenant réellement rencontrer Dieu puisqu’ils n’ont pas de satisfaction même s’ils cherchent toutes les philosophies ou les religions; les gens qui veulent trouver la Vérité et l’obtenir ainsi que la liberté, et en jouir, et les âmes qui veulent obtenir la satisfaction en trouvant la Vérité, et rien d’autre dans ce monde. Le Seigneur a dit à Ses serviteurs de trouver ces âmes là. 
C’est vrai. Le Seigneur ne nous a pas dit à vous et moi aujourd’hui de diffuser l’évangile aux riches ou ceux qui ont du pouvoir. Le Seigneur a dit que nous devons trouver ceux qui sont à part, misérables, et cherchent la grâce de Dieu physiquement et spirituellement. Nous devons leur diffuser l’évangile à eux. Le passage des Ecritures d’aujourd’hui nous dit à vous et moi de revêtir ces gens de la grâce du salut en leur diffusant cet évangile.


Le cœur de Dieu


Regardons maintenant à la troisième parabole que le Seigneur a donnée. “Il dit encore: Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père: Mon père, donne-moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien. Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche. Lorsqu’il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla se mettre au service d’un des habitants du pays, qui l’envoya dans ses champs garder les pourceaux. Il aurait bien voulu se rassasier des carouges que mangeaient les pourceaux, mais personne ne lui en donnait. Étant rentré en lui-même, il se dit: Combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai: Mon père, j’ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d’être appelé ton fils; traite-moi comme l’un de tes mercenaires.” (Luc 15:11-19).
Je vais isoler cela et vous l’expliquer pour que vous puissiez comprendre facilement. Un homme avait deux fils, et le second fils a pris toute sa part d’héritage de son père, est parti, et a tout gaspillé jusqu’à ce qu’il soit ruiné. Il ne pouvait vivre correctement dans ce monde. C’est allé au point qu’il voulait manger la nourriture des cochons en secret, mais il ne pouvait même pas manger cela pour être comblé. Donc, il a pensé: “Combien des serviteurs de mon père ont assez de pain jusqu’à en mettre de côté”, et il voulut retourner dans la maison de son père. Aussitôt qu’il est rentré, son père est venu vers lui sans chaussures, a embrassé son fils sur la bouche, a mis un anneau à son doigt, lui a donné de belles chaussures, l’a vêtu des meilleurs habits, et a pris un veau pour faire une fête avec tous les gens du voisinage.
Mais cela a déplu au premier fils qu’il y ait une fête pour son jeune frère. Donc, il s’est plaint auprès de son père: “Voici, il y a tant d’années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis. Et quand ton fils est arrivé, celui qui a mangé ton bien avec des prostituées, c’est pour lui que tu as tué le veau gras! Mon enfant, lui dit le père, tu es toujours avec moi, et tout ce que j’ai est à toi; mais il fallait bien s’égayer et se réjouir, parce que ton frère que voici était mort et qu’il est revenu à la vie, parce qu’il était perdu et qu’il est retrouvé.” (Luc 15:29-32).
Mes chers croyants, cette troisième parabole du Seigneur a été donnée aux saints et aux serviteurs de Dieu dans l’Eglise. Comment sommes-nous en réalité? Les serviteurs de Dieu et Son peuple qui ont reçu la rémission des péchés se plaignent d’abord au Seigneur chaque jour parce qu’Il ne reconnaît pas leur service pour Lui dans l’Eglise dans de telles difficultés. Ils disent qu’Il leur dit toujours quoi faire et qu’Il ne traite bien seulement que ceux qui ont vécu inutilement dans ce monde, puis ont écouté l’évangile, ont reçu la rémission des péchés, et ont rejoint l’Eglise. Alors, il est normal pour eux d’avoir de la jalousie envers les nouveaux saints dans leur cœur. Ils sont prompts à s’élever contre Dieu en pensant: “Je me suis sacrifié et j’ai bien servi dès que j’ai reçu la rémission des péchés dans cette Eglise. Comment une telle personne désespérée a-t-elle reçu le salut? Même si elle a été sauvée, elle a beaucoup de chemin à parcourir avant de devenir comme moi. Mais seule cette personne est bien traitée et suscite l’intérêt de l’Eglise.”
Mais, une telle notion du fils aîné dans le passage des Ecritures d’aujourd’hui est clairement mauvaise. Le Seigneur nous parle aujourd’hui à vous et moi qui avons reçu la rémission des péchés premièrement et sommes devenus serviteurs de Dieu et Son peuple premièrement. Il dit: “Vous travaillez vraiment dur, mais pensez que c’est normal d’avoir de la joie et de faire une fête quand vos jeunes frères reviennent.” C’est vrai. Nous n’avons rien de quoi être jaloux. Nous devons avoir de la joie avec Dieu. En d’autres termes, nous devons connaître la profondeur du cœur de Dieu. Donc, comment est le cœur de Dieu? Il fait une fête et se réjouit quand un pécheur perdu revient et est sauvé. L’amour de Dieu le Père c’est de ramener les morts et misérables à la vie et les bénir. En conséquence, nous, en tant que serviteurs de Dieu qui avons reçu la rémission des péchés, devons avoir le même cœur que Dieu le Père.
Le second fils du passage des Ecritures d’aujourd’hui est une personne qui est retournée dans le sein de Dieu. Il voulait manger la pâtée des porcs, mais il ne pouvait même pas prendre cela, et il a pensé: “Je vais mourir de faim ici. Il vaudrait mieux que je retourne chez mon père et que je devienne l’un de ses ouvriers. Je suis son fils, mais je vais travailler comme l’un de ses ouvriers.” Donc, il est retourné chez son père.


Les doctrines des religions du monde qui sont comme de la pâtée


Vraiment, tous les gens qui existent dans ce monde sont les enfants de Dieu qui sont à Son image et à Sa ressemblance. Strictement, tous les gens de ce monde sont des âmes précieuses qui deviennent le peuple et les enfants de Dieu en Jésus Christ. Mais ces âmes précieuses cherchent le monde, les choses matérielles, l’envie et le plaisir, puis les religions. Le second fils dans le passage des Ecritures d’aujourd’hui voulant manger la pâtée des porcs, mais souffrant de la faim parce qu’il ne pouvait même pas avoir cela, représente les gens qui cherchent les religions de ce monde en vain. Les religions ne peuvent pas donner de satisfaction aux gens. Les religions disent fréquemment aux gens quoi faire, demandent leur sacrifice, et ne peuvent pas leur donner de vraie satisfaction dans leur cœur. Bien sûr, notre Dieu fait aussi travailler Son peuple. Mais qu’est-ce qui est différent entre notre Dieu et les religions du monde? La grâce de la rémission des péchés qui nous est donnée par Dieu donne une satisfaction claire à nos âmes. Les gens qui n’ont pas pu obtenir de satisfaction par les religions du monde et meurent spirituellement obtiennent la vraie satisfaction dans leur âme en revenant à Jésus Christ.
Réfléchissez sur vous-même un moment. Pourrions-nous obtenir la satisfaction dans une religion du monde? Non. Aucune religion ne peut donner la satisfaction à l’âme de l’homme. N’étiez-vous pas des âmes perdues? N’étions-nous pas perdus, vous et moi? Nous étions les âmes perdues parmi cent, la pièce perdue sur dix, et le fils perdu parmi les deux. N’étions-nous pas tous comme cela?
Nous avions tous le problème du péché. Même si nous avions des péchés dans nos cœurs, les religions du monde n’ont pas pu résoudre ce problème. Nous étions vraiment des gens qui ne pouvions pas vivre correctement sans Dieu. C’est vrai. Vous et moi étions chacun l’une des brebis perdues. Mes chers croyants, nous devons correctement reconnaître le fait que chacun de nous était une personne perdue devant Dieu. Nous devons savoir correctement que nous étions ce genre de personne dans notre nature. Il ne s’agit pas d’autres gens; il s’agit de nous. Nous étions perdus. Etre perdu signifie la mort. Vous et moi qui étions perdus étions des gens qui allaient subir la destruction et la ruine si ce n’était grâce à Dieu.
Qu’arrivera-t-il à la brebis qui quitte le troupeau de cent dans le passage des Ecritures d’aujourd’hui? Elle tombe dans une situation grave. Elle arrive devant une falaise et tombe en essayant de manger l’herbe en bas de la falaise, ou elle va dans un champ sauvage et se fait dévorer par un loup. Cela signifie que vous et moi sommes proches de subir ce genre de mort dans ce monde méchant. La pièce perdue et le second fils qui avait quitté la maison nous désignent tous deux vous et moi. Nous étions de tels gens qui devaient mourir et ne pouvaient qu’aller en enfer. Mais que nous est-il arrivé? Notre Seigneur nous a rencontrés. Il nous a rencontrés et sauvés entièrement.
Croyez-vous que notre Seigneur nous a rencontrés et a éliminé tous nos péchés par l’eau et le sang? Réfléchissez-y un moment. Si notre Seigneur n’avait pas pris tous nos péchés par Son baptême et reçu le jugement à la Croix à notre place, ou si Dieu le Père n’avait pas envoyé Son Fils Jésus Christ dans ce monde et n’avait pas fait l’œuvre juste pour nous, quelle espérance aurions-nous? Nous n’en aurions aucune. Nous ne pourrions que subir la destruction. Donc, nous devons garder cela à l’esprit. Peu importe combien nous sommes merveilleux, peu importe combien nous sommes intelligents et sages, et peu importe combien nous sommes bons, nous étions tous parmi ceux qui sont perdus. Nous devons garder ce fait à l’esprit.


La vie


Mes chers croyants, nous ne pouvions que pleurer lorsque nous sommes nés et nous devrons pleurer à notre mort aussi. Même si la façon dont nous vivons semble différente d’une personne à l’autre, la fin de nos vies est inévitablement la même: la destruction éternelle. Vous et moi sommes tous nés avec le sort des flammes de l’enfer. Mais notre Seigneur nous a sauvés, nous qui allions vivre dans ce genre de sort misérable. Il nous a complètement sauvés par la grâce de la rémission des péchés. Nous devons absolument réaliser cette grâce du Seigneur. Combien la grâce du Seigneur est grande? Réfléchissez-y un moment. Comment pourrions-nous jouir de la paix dans nos cœurs si n’est par la grâce du Seigneur? Comment pourrions-nous vivre dans la joie? Si ce n’était par le Seigneur, comment pourrions-nous rire? Nous serions misérables sans le Seigneur. Nous ne serions pas en mesure de croire qui que ce soit, nous nous tromperions les uns les autres, et nous serions blessés les uns par les autres. Nous essaierions de bien vivre, mais nous ne serions pas en mesure de faire autrement qu’avoir des vies misérables, dépouillées de toute leur fortune par les autres. Vous et moi étions des gens qui ne pouvions que mener des vies misérables.
Nos vies se passent-elles bien si nous essayons? Y a-t-il quelque chose qui va bien dans nos vies juste parce que nous essayons fort de réussir? Satan est celui qui dit: “Tu peux le faire si tu essaies”. Beaucoup de ceux qui sont passés avant nous ont vécu diligemment, croyant cette parole. Mais ont-ils tous vécu heureux jusqu’à leur mort? Prenez un microphone et faites une interview aux décédés.
Allez devant une tombe et dites: “Pardon, je sais que vous dormez. Je suis un reporter de Hephzibah Télévision. Je vais vous demander une seule chose. Avez-vous essayé dur pour vivre dans ce monde ou pas?”
“Oui.”
“Alors, avez-vous cru en la philosophie selon laquelle les choses iraient bien si vous essayiez seulement?”
“Oui.”
“Alors, avez-vous essayé parce que vous pensiez que tout irait bien, quoi qu’il en soit?”
“Oui, j’ai cru cela, et j’ai essayé toute ma vie.”
“Donc, les choses sont-elles arrivées comme vous l’avez cru?”
“Non.”
“Combien de choses ne se sont pas bien passées?”
“Pas une seule ne s’est bien passée.”
“D’accord, merci.”
Si vous allez vers d’autres tombes, vous entendrez d’autres personnes dire: “J’ai reçu les enseignements de ce monde qui disaient que les choses iraient bien si j’essayais et vivais en conséquence, mais cela n’a pas fonctionné.” Même si vous allez devant quelques tombes supplémentaires et interrogez chaque personne, vous entendrez qu’ils sont morts dans le désespoir et que rien ne s’est réalisé à 100% pour eux. C’est vrai. Il n’y a personne dans ce monde qui ait accompli quoi que ce soit par sa volonté. Une personne serait heureuse si seulement un dixième de ce qu’elle a espéré s’était accompli par ses efforts. L’on serait heureux d’avoir même un dixième de ses attentes. Les gens ont essayé beaucoup durant toute leur vie, mais le pouvoir de l’homme n’est rien. Les choses ne se passent pas bien juste en essayant.


Nous devons rencontrer Jésus qui est la justice de Dieu

Mes chers croyants, les gens qui sont perdus devant Dieu doivent Le rencontrer. Il les bénira alors, les conduira sur la voie bénie, les couvrira de bons habits, et mettra des anneaux précieux à leurs doigts. Le père dans le passage des Ecritures d’aujourd’hui qui met un anneau au doigt de son fils qui revient parle du changement de statut dans la vie. Le vêtir de bons habits signifie qu’il devient juste, et lui mettre des chaussures aux pieds signifie lui mettre les chaussures de l’évangile. Le Seigneur a fait ainsi de nous les enfants de Dieu tout en nous donnant toutes les bénédictions de Dieu le Père et nous permettant d’en jouir. Ces bénédictions ne s’obtiennent jamais juste en essayant. Cela ne se passe jamais comme ça.
Si les gens veulent vivre des vies bénies, ils doivent d’abord rencontrer le Bon Berger. Ils doivent rencontrer Jésus. Ils doivent recevoir la rémission de leurs péchés dans leur cœur en rencontrant Jésus. Ils doivent recevoir la rémission de leurs péchés à travers Jésus Christ qui est le Fils de Dieu. Jésus est notre Sauveur. Il a pris tous nos péchés. Il nous a sauvés de tous nos péchés. Il nous a revêtus de la grâce complète du salut en prenant tous nos péchés sur Son corps à travers Son baptême et en recevant le jugement à la Croix. Seuls les gens qui ont le Berger et reçoivent le Seigneur dans leur cœur jouissent de la vraie paix. Quand le Bon Berger les conduit dans de verts pâturages et près des eaux paisibles, ces brebis qui L’ont rencontré vivent en étant comblées, obtiennent le repos, et sont paisiblement protégées pour la première fois.
Mes chers croyants, vous et moi avons rencontré le Seigneur qui est le Berger parfait. N’êtes-vous pas vraiment reconnaissant de L’avoir rencontré? C’est un grand problème si vous ne savez pas être reconnaissant pour avoir rencontré le Seigneur. Ce genre de personne est semblable au premier fils du passage des Ecritures d’aujourd’hui. Ils sont dans la même situation que le premier fils qui se plaignait. Mais nous ne sommes pas le premier fils. Nous sommes le second fils qui était perdu puis retrouvé. C’est une chose merveilleuse de croire que Jésus a pris nos péchés quand Il a été baptisé et qu’Il a versé Son sang pour recevoir le jugement à la Croix à notre place. J’espère que vous ne sous estimez pas cette foi. C’est vraiment merveilleux. Où pouvez-vous aller et entendre cette Parole de Vérité? Vous ne pouvez pas l’entendre dans les dénominations de ce monde. 
Réfléchissons un moment au Tabernacle qui est le modèle de Jésus. Il y avait une porte à l’entrée du Tabernacle qui était tissée de fil bleu, pourpre, et cramoisi, et de fin lin retors. Trente mètres (cent pieds) à l’ouest se trouvait une autre porte vers le Sanctuaire. Elle était aussi tissée de fil bleu, pourpre, et cramoisi, et de fin lin retors. Le voile qui fermait le Lieu Très Saint et les rideaux intérieurs qui couvraient le Sanctuaire étaient aussi faits de fil bleu, pourpre, et cramoisi, et de fin lin retors. Que représentent ces fils bleu, pourpre, et cramoisi? Cela signifie l’évangile de l’eau et de l’Esprit auquel nous croyons. Votre salut ne peut pas être accompli juste en croyant en Jésus d’une quelconque façon. Plus précisément, nous devons croire en cet évangile qui a été donné par le Seigneur.
Quelle est la première chose que nous devons croire quand nous commençons à croire en Jésus? Nous devons croire qu’Il a reçu le transfert de tous nos péchés en étant baptisé au Jourdain. C’est la première chose que nous devons croire. La deuxième chose c’est que Jésus a versé Son sang à la Croix et a reçu tout le jugement pour nous. Les saints qui ont reçu la rémission des péchés dans leur cœur par la foi doivent maintenant entrer et vivre dans la maison de Dieu, pour faire l’œuvre de Dieu en vivant là, et vivre en adoptant ce qui est à Dieu comme étant à eux. Dieu nous fournit ce dont nous avons besoin.
Nous avons reçu la rémission des péchés. Cela peut sembler rien du tout pour vous, mais ce n’est vraiment pas le cas. Laissez passer du temps. Puis demandez-vous si ce n’est rien du tout en réalité. Plutôt, si vous retournez dans le monde après avoir reçu la rémission des péchés, c’est vous qui n’êtes rien. A ce moment là, vous ne devenez plus rien du tout. Vous devenez plus misérable que vous ne l’étiez auparavant. Toutes les maladies que vous aviez auparavant reviennent et toute votre douleur précédente revient. Davantage de difficultés encore qu’avant viennent et vous tourmentent. Donc, mes chers croyants, j’espère que vous gardez la tête droite.
Par-dessus tout, nous devons savoir que le Seigneur a trouvé des pécheurs faibles et les a sauvés. Nous devons aussi réaliser que nous qui sommes devenus les ouvriers de Dieu avant les autres en recevant la rémission de nos péchés devons personnellement trouver des âmes perdues et les amener devant Dieu. Il y a beaucoup d’âmes perdues devant Dieu dans ce monde. Il y a beaucoup de gens qui vivent sans connaître le fait qu’ils sont des âmes perdues.
Les gens dans le monde sont tous perdus. Ils sont tous pécheurs. Ils sont tous des gens qui doivent recevoir la rémission des péchés en croyant en cet évangile de l’eau et de l’Esprit. Mais ceux qui ont reçu maintenant la rémission des péchés sont extrêmement peu nombreux. Jésus est venu vers les gens qui pensent réellement qu’ils ne peuvent qu’aller en enfer et qui n’ont pas d’espoir dans leur cœur, et Il a réellement éliminé les péchés de tout le monde. Il les a complètement sauvés. Notre Seigneur n’est jamais venu rencontrer les gens qui pensent: “Je vais bien sans Jésus. Je n’ai pas besoin de Lui.” Il vient vers eux mais les laisse avec déception.
Ne traitez pas trop bien les gens qui vivent bien et ont beaucoup d’argent dans ce monde. Ce sont des gens qui iront dans un endroit chaud après avoir bien vécu sans Jésus. Cependant, il y a toujours beaucoup de gens sur la terre qui ne peuvent pas jouir de la satisfaction même s’ils ont des propriétés, de la célébrité, du pouvoir, et même une religion. Il y a des gens qui veulent vraiment trouver le vrai Dieu et recevoir la rémission de leurs péchés. Cela signifie qu’il y a des âmes perdues devant Dieu. Cela signifie qu’il y a des gens qui connaissent le fait qu’ils sont perdus. C’est le genre de gens que nous devons trouver. Nous devons les trouver et leur prêcher l’évangile du Seigneur.
Nous pouvons classer ceux qui visitent l’Eglise pour la première fois en deux groupes. L’un d’entre eux comporte les gens qui pensent qu’ils ne sont pas perdus. Ces gens ne nous croient pas, peu importe ce que nous disons. Ce ne sont pas des brebis perdues devant Dieu. Puisque ce ne sont pas des gens perdus, ils ne peuvent pas recevoir le salut de Dieu non plus.
Quelle est l’autre sorte de gens alors? Il y a des gens qui viennent dans notre Eglise et qui pensent qu’ils sont perdus. Ils disent: “J’ai des péchés et il m’est difficile de vivre dans ce monde. Je ne connais rien et les choses sont difficiles. Ce serait bien si quelqu’un me sauvait.” Quand nous leur parlons de leur nature pécheresse sur la base de la Parole de Dieu, ils disent: “C’est vrai. Je suis ce genre de personne.” Si nous prêchons à ceux qui se connaissent comme tels la Parole de l’évangile disant que Jésus les a sauvés par l’eau et le sang, ils croient immédiatement en Jésus et deviennent naturellement Son peuple. C’est ainsi que cela se passe vraiment. Ces gens qui connaissent leur nature d’origine deviennent justes devant Dieu et deviennent Ses enfants, et ils peuvent vivre pour toujours dans le Royaume de Dieu. 
Il y a deux sortes de gens peu importe où vous allez: ceux qui sont perdus et ceux qui ne le sont pas. Il y a deux sortes de gens qui visitent l’Eglise et il y a deux sortes de gens dans le monde. Comment étions-nous, vous et moi qui avons déjà reçu la rémission des péchés? Nous étions perdus. Nous étions parmi ceux qui étaient perdus.
Ceux qui n’ont pas encore reçu la rémission de leurs péchés même si on leur a prêché l’évangile du Seigneur sont des gens qui ne sont pas perdus. Nous devons travailler dur pour ouvrir leur cœur jusqu’à ce qu’ils réalisent qu’ils sont des gens perdus. Nous devons ouvrir leur cœur endurci et attendre jusqu’à ce qu’ils réalisent eux-mêmes qu’ils sont perdus. Nous devons continuellement trouver ces gens-là. Croyez-vous que vous et moi qui avons déjà reçu la rémission des péchés étions perdus? Croyez-vous au fait que nous avons été trouvés par Dieu et avons été sauvés? Seuls les gens qui croient cela peuvent recevoir la vraie grâce du salut de Dieu.
Je rends grâces au Seigneur qui nous a sauvés. Nous devons devenir des serviteurs fidèles de Dieu qui sommes toujours reconnaissants pour la grâce du Seigneur et qui essayons de trouver les faibles et les perdus. 
 
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Sermons sur l’Évangile de Luc (Ⅴ) - NOUS SOMMES LES SERVITEURS QUI CROYONS EN L’EVANGILE DE L’EAU ET DE L’ESPRIT